Ann-Margret, la star des années 60 qui a tout quitté par amour et trouve encore la lumière

Advertisements

Une étoile venue du froid

Advertisements

Née dans un petit village de Suède, Ann-Margret a grandi dans une maison remplie de musique et d’amour familial. Dès l’âge de quatre ans, elle chantait avec sa mère pendant que son oncle jouait de l’accordéon. Ce cocon chaleureux a forgé son sens du rythme et sa passion pour la scène.

Quand sa famille a émigré aux États-Unis, la jeune fille n’a pas tardé à briller. Installée dans l’Illinois, elle s’est fait remarquer pour sa voix, sa grâce et son charisme, jusqu’à décrocher une place à la prestigieuse université Northwestern. Mais l’appel de la scène était plus fort : Ann-Margret rêvait d’Hollywood.

Advertisements

L’ascension d’une icône

Sa carrière décolle lorsque le légendaire George Burns découvre son talent. Très vite, elle devient la nouvelle sensation des années 60. Son titre “I Just Don’t Understand” grimpe dans les charts, et ses débuts au cinéma dans Pocketful of Miracles la propulsent parmi les étoiles montantes.

En 1963, le monde découvre une rousse flamboyante dans Bye Bye Birdie, puis aux côtés d’Elvis Presley dans Viva Las Vegas. Leur complicité à l’écran fait sensation et leur amitié sincère perdure au-delà du tournage. Pourtant, malgré sa beauté éclatante et son aura glamour, Ann-Margret refuse d’être cantonnée à un simple rôle de sex-symbol. Elle veut prouver qu’elle est bien plus qu’un joli visage.

L’amour plus fort que la gloire

C’est en pleine gloire qu’elle rencontre Roger Smith, acteur charismatique et vedette de la série 77 Sunset Strip. Entre eux, c’est un coup de foudre immédiat. « Au troisième rendez-vous, j’ai su que j’allais l’épouser », confiera-t-elle plus tard. En 1967, ils se marient à Las Vegas, et Ann-Margret devient aussi la belle-mère aimante de ses trois enfants : Tracey, Jordan et Dallas.

Pendant treize ans, le couple espère avoir un enfant ensemble, sans succès. Malgré cette épreuve, leur lien se renforce. Ann-Margret répète souvent qu’elle croit en la destinée : « Si je dois avoir un enfant, cela arrivera quand le moment sera juste. »

Quand la maladie frappe, l’amour reste


class=”alignnone size-full wp-image-20381″ />

Roger Smith quitte sa carrière d’acteur pour devenir le manager de sa femme, la soutenant dans ses choix artistiques. Ensemble, ils forment un duo indissociable, uni sur scène comme dans la vie. Mais les années 70 apportent une rude épreuve : Smith est diagnostiqué d’une myasthénie grave, puis de la maladie de Parkinson.

Sans hésiter, Ann-Margret met sa carrière en pause pour prendre soin de lui. Elle refuse de parler de sacrifice : « Quand l’un de nous a une aile brisée, l’autre prend le relais. » Pendant des décennies, elle veille sur lui avec douceur et force, un exemple rare de fidélité et de compassion.

Une vie de famille et de cœur

Même après la maladie de son mari, Ann-Margret reste proche de leurs enfants et petits-enfants. Ses beaux-enfants la considèrent comme une véritable grand-mère, toujours présente et affectueuse. Aujourd’hui encore, elle garde le contact avec eux, partageant appels et réunions de famille.

Advertisements

Leave a Comment