Une mère installe une caméra dans la chambre de son fils et est horrifiée par des mouvements inexpliqués – Histoire du jour

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Alicia avait remarqué depuis quelques temps que son fils Edduin, malgré son jeune âge, semblait constamment fatigué et agité. Pour comprendre ce comportement inexplicable, elle décida d’installer une caméra dans sa chambre. Une nuit, alors qu’elle berçait Edduin en lui murmurant :
« Ne t’inquiète pas, mon trésor, maman est là, tout ira bien »,
elle le vit s’endormir après une longue séance de berceuse, même si ce réconfort avait mis dix minutes à opérer. Une fois le petit apaisé, elle le remit délicatement dans son berceau, lui déposa un tendre baiser sur le front, ferma doucement la porte pour ne pas perturber son sommeil et retourna à son ordinateur.

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En se dirigeant vers la cuisine pour se préparer un café, Alicia ne pouvait s’empêcher de repenser à l’absence de José Miguel, son mari, disparu dans un tragique accident. Ironiquement, c’était peu de temps auparavant que, contre toute attente, le couple – tous deux issus de foyers d’accueil et longtemps privés d’enfants – avait célébré l’annonce d’une grossesse miraculeuse après des années d’errance et de voyages : Sydney, les plages paisibles d’Honolulu, les lumières étincelantes de Las Vegas, et même les fjords majestueux de Bergen. Ce bonheur retrouvé les avait incités à revenir chez eux pour partager la joie avec leurs proches, et à décider qu’Alicia resterait à la maison pendant que José Miguel assurait la gestion de son entreprise.

Mais le destin, imprévisible, en décida autrement. Ce même matin fatidique, José Miguel était parti pour une réunion d’affaires – malgré l’inquiétude d’Alicia qui pressentait quelque chose de mauvais – lorsqu’un officier, Danilo, appela pour lui annoncer la terrible nouvelle : son mari venait de perdre la vie dans un accident de voiture. La douleur fut telle que, quelques instants plus tard, alors qu’elle était enceinte de sept mois, Alicia entra en travail prématuré. Heureusement, grâce à l’intervention rapide de sa voisine, Mme Hilda, qui appela les secours, elle fut transportée à l’hôpital où elle donna naissance à Edduin, qui dut passer un certain temps en unité néonatale.

De retour chez elle, désormais seule à la tête de l’entreprise que dirigeait autrefois José Miguel, Alicia s’investit corps et âme pour concilier ses responsabilités professionnelles et la maternité. Madison, la fidèle secrétaire de son défunt époux, l’aida à aménager un espace de travail dans sa maison afin qu’elle puisse rester proche d’Edduin, refusant pour autant de recourir à une aide extérieure. Pendant presque une année, elle géra avec courage son quotidien, jonglant entre dossiers et câlins, malgré les inquiétudes récurrentes liées à l’état de son fils.

En effet, Edduin, qui semblait de plus en plus épuisé chaque matin, perdait peu à peu l’entrain qui caractérisait autrefois ses journées. Les jouets qui l’enthousiasmaient autrefois ne suscitaient plus le moindre intérêt, et ses pleurs devenaient réguliers. Après plusieurs consultations chez le médecin – qui évoqua un simple « bond de croissance » sans pouvoir fixer de délai précis pour son amélioration – Alicia décida de surveiller de plus près la chambre de son fils.

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Une soirée, après l’avoir couché, elle entendit un bruit inhabituel, mêlé à un léger rire, provenant de la pièce. Paniquée, elle ouvrit brusquement la porte, s’attendant à trouver un intrus. À sa grande surprise, la chambre était vide, mais Edduin, dans son berceau, esquissait un sourire complice. Intriguée, elle fouilla minutieusement dans la pièce, du placard à la salle de bain, sans rien découvrir d’anormal. Ce phénomène étrange se répéta sur plusieurs nuits, jusqu’à ce qu’elle décide d’installer un babyphone pour observer discrètement ce qui se passait en son absence.

Sur l’écran du moniteur, tout semblait normal au début, mais après une dizaine de minutes, un mouvement attira son attention : Edduin, paisiblement endormi, esquissa soudain un sourire. Alarmée à l’idée qu’un visiteur inattendu aurait pu pénétrer dans la chambre, Alicia se précipita vers la porte et l’ouvrit en sursaut. Ses mains tremblaient alors qu’elle découvrait, non pas un intrus menaçant, mais un petit chiot au regard attendrissant. Le mignon compagnon, sale et visiblement fragile, se cachait timidement derrière le berceau.

Au premier abord, la scène aurait pu être interprétée comme une intrusion malveillante, mais dès que le chiot se fit remarquer, Edduin éclata de rire, dissipant toute crainte. C’est alors qu’Alicia se rappela avec émotion que, jadis, elle et José Miguel avaient eu un chien, Doblo, dont ils avaient perdu la trace après sa disparition. Ils avaient même aménagé une petite porte à l’arrière de la chambre pour lui permettre d’entrer et sortir librement, oubliant, hélas, de la fermer une fois le chien parti. Ainsi, ce nouveau chiot, intrépide et joueur, s’était glissé dans la pièce, perturbant le sommeil d’Edduin par inadvertance.

Touchée par la vulnérabilité de l’animal, Alicia sentit son cœur se radoucir instantanément. Elle décida sur-le-champ de l’adopter, lui offrant le nom de Casper. Très vite, Casper devint le compagnon fidèle d’Edduin, apportant rire, tendresse et réconfort dans un quotidien déjà marqué par la douleur et les défis de la vie de mère célibataire.

Cette histoire nous rappelle que, même dans les moments les plus difficiles, la vie peut réserver de belles surprises. Le courage d’Alicia, sa détermination à trouver l’équilibre entre travail et maternité, ainsi que l’amitié inattendue d’un petit chien, montrent que la compassion et la chaleur humaine – ou animale – peuvent illuminer les jours les plus sombres. N’hésitez pas à partager cette histoire avec vos proches, car elle pourrait inspirer d’autres personnes à cultiver la gentillesse et à chérir les petites joies qui réconfortent le cœur.

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