Dès son premier rôle dans *La Boum*, à seulement 13 ans, Sophie Marceau a marqué un tournant dans le monde du cinéma.
Grandissant sous les feux de la rampe, elle a très vite appris à fixer ses propres limites.
“Je refuse de me laisser écraser par les fardeaux de la vie, je veux être libre et légère”, confie-t-elle.
Toujours pleine de surprises, Marceau parle avec sincérité et choisit ses mots avec soin, comme en témoigne son recueil de textes et de poèmes, *La Souterraine*, publié chez Seghers.
Cette année, elle fait également ses premiers pas sur les planches avec succès dans *La Note*, aux côtés de François Berléand, une pièce qui sera en tournée à travers la France en 2025.
Marceau, audacieuse et fidèle à elle-même, incarne une authenticité rare.
Dans une interview pour *Vogue France*, elle partage son envie de continuer à écrire, malgré les obstacles du quotidien.
“Je refuse de me laisser accabler par les soucis de la vie, je veux rester libre et légère”, répète-t-elle.
Elle compare l’écriture de scénarios à une discipline structurée, qui, bien qu’instructive, ne lui procure pas la même satisfaction que l’écriture libre, plus personnelle.
Ayant quitté l’école à 15 ans, Marceau attache une grande importance aux mots, à leur rythme et aux émotions qu’ils véhiculent.
Elle évoque également le courage dont elle a fait preuve lorsqu’elle a racheté son contrat avec Gaumont à seulement 18 ans, malgré les menaces judiciaires.
“Je refuse de porter les fardeaux de la vie, je veux être légère et libre”, affirme-t-elle à nouveau.
Son indépendance et sa décision de collaborer avec Andrzej Żuławski ont profondément choqué les producteurs de Gaumont.
Enfant, Marceau n’avait pas une grande exposition à la culture chez elle, mais elle a développé une passion pour Bob Dylan après avoir reçu son album *Desire*, qui l’a marquée par son style unique et sa musique envoûtante.