Ma belle-mère s’est moquée de moi parce que je faisais moi-même mon gâteau de mariage — puis elle s’en est attribué le mérite devant tout le monde.

Advertisements

Mon fiancé et moi avons décidé de financer nous-mêmes notre mariage, refusant toute aide de ses parents fortunés. Quand j’ai annoncé que je préparerais moi-même notre gâteau de mariage, ma future belle-mère, Christine, s’est moquée de moi, comme si c’était en dessous de ses standards. Pourtant, je pâtissais depuis mon enfance, et j’ai mis tout mon cœur à créer un gâteau à trois étages, décoré de fleurs délicates et garni de framboises. Malgré la pression, le résultat était magnifique, et les invités n’ont cessé de me complimenter lors de la réception.

Advertisements

Christine, qui m’avait toujours jugée parce que je ne venais pas d’un milieu aisé, n’a pas résisté à l’envie de se faire remarquer. En plein milieu de la soirée, elle a attrapé le micro et a fièrement affirmé qu’elle avait elle-même réalisé le gâteau. J’en suis restée sans voix. Elle a accepté tous les éloges pour un travail qu’elle n’avait même pas effleuré, volant ainsi mon moment de fierté. J’étais furieuse, mais Dave m’a calmée en me disant : « Laisse-la mentir — elle va vite le regretter. »

Le lendemain matin, le karma a frappé à la porte. Christine a appelé, paniquée. Une invitée influente de la haute société, impressionnée par “son” gâteau, voulait en commander un pour un gala caritatif à venir. Christine était désemparée — elle ne savait même pas comment cuisiner, encore moins reproduire ce que j’avais fait. Je l’ai laissée s’embarrasser un instant avant de lui répondre calmement : « Désolée, Christine. Je ne pâtisse que pour ceux qui reconnaissent le mérite. »

Finalement, je n’avais pas besoin de discours ou de louanges publiques — mon gâteau parlait pour lui-même. Quant à Christine ? Elle a eu droit à sa juste dose d’embarras. J’ai peut-être fait ce gâteau par amour, mais c’est le karma qui a servi la dernière part.

Advertisements