Laisse-moi tranquille, maman ! » C’est la dernière chose que je lui ai dite. Elle n’a plus jamais appelé…

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Bo Derek évoque pour beaucoup un doux parfum de nostalgie, celui des années 1970 où elle régnait comme une véritable icône de beauté et de style. Avec ses longues tresses blondes, ses yeux azur perçants et son aura magnétique, elle a marqué toute une génération et bousculé les standards esthétiques de l’époque. Mais que devient celle qui fut autrefois au sommet de la célébrité hollywoodienne ? Aujourd’hui, partons sur les traces de Bo Derek et redécouvrons son étonnant parcours.

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Les débuts d’une étoile discrète
Née sous le nom de Mary Cathleen Collins le 20 novembre 1956 à Long Beach, en Californie, Bo grandit dans une famille américaine modeste. Son père, directeur commercial, et sa mère, maquilleuse professionnelle, lui transmettent très tôt le goût du travail et de l’indépendance. Adolescente, elle partage son temps entre deux grandes passions : les chevaux et le théâtre. Cavalière passionnée, elle brille dans les compétitions équestres tout en poursuivant des cours de comédie.

À 16 ans, sa vie bascule lorsqu’elle rencontre le réalisateur John Derek, alors marié à l’actrice Linda Evans. Leur relation controversée pousse le couple à quitter les États-Unis, contournant ainsi les lois strictes sur les relations avec les mineurs. Ils se marient peu après les 19 ans de Bo, tandis que John a déjà 48 ans. Des années plus tard, Bo exprimera publiquement ses remords envers Linda Evans :
« J’ai causé une grande douleur, et je n’en suis pas fière. Linda est toujours restée digne et douce. Je l’ai croisée récemment lors d’un événement caritatif, et elle était toujours aussi rayonnante. Être près d’elle me donne encore le vertige. »

L’ascension fulgurante et l’image culte
Après leur mariage, Bo devient la muse de John Derek, qui réalise pour elle une série de films mettant en avant sa beauté spectaculaire. Le plus emblématique reste sans doute 10, où Bo, courant sur la plage en maillot de bain et tresses africaines, grave à jamais son image dans la mémoire collective. Sa coiffure devient une signature — controversée mais inoubliable — qui inspire et divise.

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Une star engagée, loin des projecteurs
Malgré une carrière cinématographique en dents de scie, Bo Derek refuse de se limiter à son image de sex-symbol. Elle s’engage avec passion pour des causes qui lui tiennent à cœur, notamment le bien-être des vétérans. Elle est nommée présidente d’honneur des événements spéciaux de réadaptation organisés par l’administration des anciens combattants américains (VA).
« Ces programmes aident les anciens militaires à retrouver confiance, autonomie et qualité de vie. Être ambassadrice de cette mission est un privilège immense », confie-t-elle.

Une vie apaisée aux côtés de John Corbett
Côté cœur, Bo Derek vit une histoire d’amour discrète et durable avec l’acteur John Corbett, célèbre pour son rôle dans Sex and the City. Ensemble depuis plus de deux décennies, ils ont choisi de se marier dans l’intimité la plus totale, entourés uniquement de leurs proches. Aucun éclat médiatique, simplement un amour solide et serein.

Aujourd’hui, Bo Derek incarne bien plus qu’une beauté des années 70. Elle est le symbole d’une femme qui a traversé les épreuves, su se réinventer et rester fidèle à elle-même. Une figure inspirante, loin des paillettes, mais riche d’élégance, de sincérité et d’engagement.

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