Lors d’un match des Boston Celtics, Jeremy Fry a marqué les esprits avec sa danse endiablée sur “Livin’ On A Prayer” de Bon Jovi, rendant cette scène mémorable. Le jeune fan s’est mis à chanter et danser de façon énergique sur ce classique de 1986, alors que les caméras étaient braquées sur lui. Fry sautait, mimait une guitare imaginaire, et chantait comme s’il était en plein concert. Au fur et à mesure qu’il dansait dans les allées, le public l’a rejoint, dansant, chantant et partageant son enthousiasme pour le hit de Bon Jovi.
Cette performance a touché beaucoup de gens par sa spontanéité et sa sincérité. La vidéo est rapidement devenue virale, et Bon Jovi l’a même partagée sur sa chaîne YouTube officielle. Elle a atteint 16 millions de vues et est devenue emblématique pour les fans de sport. Les commentaires en ligne exprimaient l’admiration pour Fry, comme : « Il doit être incroyable de se laisser porter par l’instant sans se soucier du regard des autres ». Ce jeune homme a véritablement captivé les cœurs avec son énergie débordante. Même après l’avoir regardée des dizaines de fois, cette vidéo continue de procurer une immense joie, tant la passion et l’authenticité de Fry sont communicatives. C’est un moment inestimable.
Lors de la saison 2008-2009 des Boston Celtics, Jeremy Fry a offert cette performance devenue virale et emblématique. Durant cette saison, les Celtics ont établi un record de 19 victoires consécutives. Malgré l’abondance de vidéos de fans dansant sur YouTube, celle de Fry se distingue par son originalité et est considérée comme l’une des meilleures performances de fan jamais vues.
Dans une interview pendant cette même saison, Fry a partagé avec humour ses souvenirs de son premier match des Celtics à l’âge de sept ans. Il a également évoqué son intérêt croissant pour l’équipe après leur victoire contre les Los Angeles Lakers lors de la saison 2007-2008. Bien que les Celtics n’aient pas défendu leur titre en 2008-2009, leur incroyable début de saison avec un record de 27-2 a sûrement contribué à l’euphorie qui a inspiré les danses inoubliables de Jeremy Fry.